CENTRE TAO LIMOUSIN

Institut des Arts Martiaux & Energétiques

              Boxing Club

 
 
Muay Thaï 
Les cours seront animés par :

Christophe Laval - tel: 06 76 78 03 52
BFMT1 (AFMT)

&
1er Duan Sanda - D.A.B. Sanda-Wushu Shuai Jiao (FWF)

JB Brunet - tel: 06 89 40 55 62
1er Duan Sanda - D.A.B. Sanda-Wushu Shuai Jiao (FWF)

Roberto LOUISET   - tél: 06 41 94 57 27
7ème Duan  FFKDA - FWF    Sanda - Sanshou - Shuai Jiao
BFM2   FFKMDA - Kick Boxing  - Muay Thaï - Sanda
&
BAE - FFMT 1985 Yamatsuki Club Roger PASCHY -  Boxe Thaïlandaise







 

Faire de la boxe thaï ?

Les bonnes raisons
Les bienfaits du sport sur notre corps sont incontestables. La boxe thaï reste un sport complet, avec de multiples bénéfices sur le plan mental et physique.
Mais faire de la boxe thaï c'est autre chose ! Un sport complet qui est parfait pour se défouler.
Si vous croyez que la boxe anglaise était la plus ancienne des sports de combat, vous vous trompez !

L'HISTOIRE DE LA BOXE THAÏ
muay thai
Le boxe thaï ou muay thaï est un véritable art martial. La boxe thaï est initialement crée pour les militaires thaïlandais du 16è siècle.
Le Muay Thaï est aussi appelé «l'Art des Huit Membres» car c'est un sport où est utilisé les poings, les pieds, les coudes et les genoux. Un pratiquant de Muay Thai est appelé Nak Muay.
Le Muay Thai trouve ses origines dans des pratiques martiales ancestrales comme le muay boran. En Thaïlande, c'est une véritable religion.
Historiquement, le roi Naresuan aurait encouragé sa pratique à ce titre. De nombreux combats étaient organisés dans les villages. C'était un peu l'arène des gladiateurs de Rome version Thaïlandais !
À cette époque, les combattants nak muay protégeaient leurs mains avec du crin de cheval. Evidemment, il n'y avait pas de catégories de poids pour les combattants de l'époque.
La boxe thaï atteignit sa plus grande popularité au début du XVIIIe siècle, sous le règne de Pra Chao Sua, "le Roi Tigre".
C'était le passe-temps favori de la population ; chaque village organisait des combats régulièrement.

Par son efficacité, le muay thai surpasse un bon nombre d'autres sports de combat lorsque des compétitions sont organisées. C'est aussi pour cette raison que beaucoup de combattant de mma utilisent le muay thai comme base à leur striking.









LES BIENFAITS DE LA BOXE THAÏ
La boxe thaï est bénéfique quel que soit votre niveau : débutant ou confirmé.
La boxe thaï est un sport de combat qui fait de nombreux adeptes : femme comme homme. Sa pratique régulière procure de nombreux bienfaits.
Voyons pourquoi la pratique régulière de la boxe thaï ne peut qu'être bénéfique.

La boxe thaï est un sport complet et dynamique qui présente des bienfaits pour la forme physique et pour le mental.
Ce sport intègre une grosse dose de travail et de persévérance. La boxe thaï vous forme à la discipline, au courage, au respect et à la vision.

LA BOXE THAÏ AMÉLIORE LA CONDITION PHYSIQUE
La boxe thaï est un sport de haute intensité qui permet d’améliorer l’endurance et le cardio vasculaire. La boxe thaï fait travailler la respiration, le souffle. Un sport comme la boxe thai tonifie le corps et fait travailler les muscles.
C'est un sport avec des mouvements réguliers et répétés. Une pratique régulière permet de renforcer son corps.
Les bras, les jambes restent les principales zones tonifiées durant l’effort. Tous le corps est sollicité et progressivement sculpté. Ce n'est pas pour rien que les combattants thaïlandais sont taillés ainsi.
En pratiquant la boxe, vous allez bruler de la graisse sur l'ensemble de votre corps. Cela dépend évidemment de votre niveau d'intensité et de votre poids. Néanmoins, si vous voulez améliorer votre condition physique, la pratique d'un sport comme la boxe vous convient parfaitement.
Lorsque vous allez commencer la boxe, le coach ne vous demandera pas de frapper ou avec précision dès le départ. C'est surtout la technique qui est importante dans cette discipline.
Lorsque l'on débute, il n'est pas nécessaire de s'entrainer comme un professionnel. C'est vous qui choisissez quel type de boxe vous souhaitez pratiquer.

LA BOXE THAÏ DÉVELOPPE LES RÉACTIONS INSTINCTIVES 
La boxe thaï développe également l’agilité, les réflexes et la coordination. La boxe thaï est un sport qui aide à être plus alerte, agile et rapide pour ne pas se laisser surprendre par l’adversaire et recevoir des coups.
En pratiquant la boxe, vous allez développer votre coups d'œil et votre capacité à réagir à une situation donnée rapidement.
La boxe thaï vous permet de gagner une meilleure mobilité dans l'espace.

LA BOXE THAÏ AMÉLIORE LES CAPACITÉS COGNITIVES
Les capacités cognitives sont les capacités de notre cerveau qui nous permettent d'être en interaction avec notre environnement. La boxe thaï permet de développer nos capacités cognitives.
Le boxeur travaille la coordination et la précision de ses gestes techniques pour une meilleure mobilité.
Un boxeur doit également savoir se déplacer correctement, dans un espace réduit tel que le ring.
Pour développer vos capacités cognitives vous n'avez cependant pas besoin de faire des combats. Le simple fait de devoir vous déplacer à l'entrainement, va vous entrainer.
Vous l'aurez compris, la boxe thaï est un sport qui sollicite beaucoup notre cerveau, qui doit analyser énormément d'information en même temps. La boxe vous permet d'être alerte, agile et rapide.
Les bienfaits de la boxe se reflète dans la vie de tous les jours. En développant ces capacités, vous allez évidemment être plus efficace dans la vie en dehors de la boxe puisque nos capacités cognitives nous servent tous les jours.

FAIRE DE LA BOXE THAÏ CONTRIBUE AU DÉVELOPPEMENT PERSONNEL
Le développement personnel c'est le fait d'effectuer un travail sur soi même et rien de mieux qu'un sport comme la boxe pour le développement personnel. La boxe thaï permet d’améliorer la confiance en soi et d’évacuer le stress. En effet, la boxe thaï permet de repousser ses limites. Lors des séances d'entrainement vont vous forcer à aller au delà de ce dont vous êtes capable. Inutile de vous dire qu'après une bonne séance vous serez fière de vous.
En pratiquant la boxe, vous allez libérer des endorphines, l'hormone du plaisir. Cela signifie tout simplement que vous vous sentirez mieux après un entrainement. C'est un sport qui vous oblige à vous dépasser et à vaincre vos peurs.
La boxe thaï permet d'avoir une meilleure posture et un meilleur contrôle de soi même. Le sport permet de garder un état d'esprit positif. Les exercices de boxe favorise la capacité à se concentrer.
Le meilleur exercice de boxe pour développer sa confiance personnelle c'est évidemment le sparring.
Contrairement aux idées reçues, la boxe est un très bon sport pour les enfants. C'est un très bon sport pour être plus sociable et travailler sa discipline.
Au final, la boxe thaï est un formidable outil de développement personnel.

En conclusion, la boxe thaï est un sport complet qui vous permettra de travailler sur votre mental et sur votre physique. C'est vous qui choisissez la boxe que vous souhaitez pratiquer et l'intensité à laquelle vous allez vous entrainer. Boxer à votre rythme et progresser doucement.

Que vous soyez un homme ou une femme, la boxe vous apportera de nombreux bienfaits.

Bon entraînement !

 
 Les règles

L'organisation sportive de la boxe thaïlandaise se subdivise en de nombreux sigles et fédérations, si bien que le règlement peut revêtir des formulations diverses. Les règles reproduites ici sont extraites de celles appliquées dans les stades thaïlandais.

Ring

Le ring, qui mesure entre cinq et sept mètres de côté, doit être entouré de trois rangées de cordes minimum. Le plancher est doublé d'un matériau moelleux et élastique, de quatre centimètres d'épaisseur, et recouvert de toile.

La tradition veut que les quatre coins du ring correspondent à quatre points inter-cardinaux : angle rouge = nord-ouest, angle bleu = sud-est ; les deux autres angles sont blancs et correspondent aux nord-est et sud-ouest. Le coin rouge est attribué au champion et le bleu au challenger. Les tenues des boxeurs correspondent parfois à ces couleurs.

Tenue vestimentaire et accessoires des combattants

Les boxeurs se présentent dans une tenue appropriée au combat, se composant d'un short. Ils doivent combattre torse nu16 et pieds nus, mais sont autorisés à porter des chevillières ou des bandes au pieds. Les femmes portent une brassière ou un débardeur.

Les boxeurs peuvent nouer un ruban rituel appelé « prajeet (en) » autour d'un ou des deux bras, au-dessus du biceps ; sa couleur représentait originellement le niveau de maîtrise atteint. Le bandeau de tête sacré appelé « mongkon » marque la tradition du peuple thaï et, entre autres, manifeste le respect à son entraîneur, mais aussi optimise la perception mentale du combattant. Il est obligatoire durant les phases préliminaires et rituelles, mais doit être retiré avant le début du combat.

Protections

Les articulations des mains (doigts et poignets) seront protégées par une bande élastique de trois mètres, fixée avec du ruban adhésif. Les gants de combat et d’entraînement (sparring), identiques à ceux de la boxe anglaise, peuvent aller de la taille six onces à la taille seize onces (une once : environ vingt grammes). Hors de Thaïlande, le port de coudières est souvent obligatoire. Les hommes portent une coquille de protection (de constitution métallique pour protéger contre les coups de genou). Les femmes utilisent des protections pour la poitrine et le pelvis. L'équipement est complété par un protège-dents.

Poids

Un médecin exécutera un contrôle physique général qui permettra au boxeur (ou à la boxeuse) de faire ses combats au [hors-combat|K-O-system] ou assauts de boxe éducative (version light-contact).

Afin de vérifier que le combattant entre bien dans la catégorie de son adversaire, les opérations de pesée s'effectuent en présence de l'adversaire et de ses assistants, et se déroulent au moins quatre heures avant la rencontre.

Rounds

Les matchs professionnels comptent cinq reprises de trois minutes avec deux minutes de repos entre chaque round en Thaïlande (voire quelquefois 1 min 30 s de repos en Europe). Mais en France cela dépend de la « classe » dans laquelle le nak muay évolue. Les « classes » vont de « D » à « A » pour les séniors (vingt ans et plus).

Assistants

Chaque combattant peut être accompagné de deux assistants dans les combats amateurs et trois lors de combat pros (entraîneur et soigneur).

Score

Les points sont attribués selon des critères d’évaluation suivants :

  • technique, précision, puissance et dommage engendré par chaque coup (de poing, de pied, de coude et de genou) ;
  • habileté défensive ;
  • combativité et habileté à l'attaque ;
  • La notation du juge (porte sur la différence entre les deux combattants – code de la boxe anglaise professionnelle) :

  • égalité : dix points par round à chacun des deux protagonistes ;
  • léger avantage : dix points à neuf ;
  • avantage net : dix points à huit ;
  • avantage écrasant : dix points à sept ;
  • combattant défaillant et compté par l’arbitre : un point négatif déduit de la note du round ;
  • faute grave du combattant : un point négatif déduit de la note du round.
  • Second critère d’évaluation en cas d’égalité à la touche des deux combattants : Quand les boxeurs obtiennent le même nombre de points, la victoire revient à celui jugé le plus combatif.
  • Pénalité : L'arbitre est autorisé à retirer un point chaque fois que le combattant commet une faute grave ou faute mineure mais répétée.
  • Arbitres et juges

    La décision finale est du ressort d'un arbitre et de trois juges, qui remplissent leurs bulletins (carnets de jugement) respectifs à la fin de chaque reprise. La décision est donnée après le dernier round au regard des cartons de juge.

    Irrégularités
  • Frapper l'adversaire lorsqu'il est de dos,
  • Frapper l'adversaire à terre ou en train de se relever,
  • Frapper avec la tête ou l’épaule,
  • Frapper derrière la tête,
  • Frapper avec l’intérieur ou le bas de la main ou le poignet,
  • Frapper avec le gant ouvert,
  • Frapper l'œil avec le pouce,
  • Frapper intentionnellement les organes génitaux de l'adversaire,
  • Accrocher l'adversaire pour l’empêcher de porter des coups,
  • Se mettre de dos à l'adversaire,
  • Ne donner que des coups de poing,
  • Donner des coups de poing en dessous de la ceinture,
  • S'appuyer sur l’adversaire ou de le pousser en arrière,
  • Pousser la tête de l’adversaire en arrière avec la main ouverte et le frapper de l’autre,
  • Tenir de la main une corde du ring, ou s'appuyer sur les cordes,
  • Tenir l'adversaire d’une main et le frapper de l’autre ( on peut tenir l’adversaire, mais seulement des deux mains pour le frapper avec les genoux),
  • Bousculer l’adversaire dans les cordes,
  • Porter volontairement des coups sur les reins,
  • Porter des coups après la fin du round,
  • Tirer les cheveux,
  • Mordre ou cracher,
  • Simuler d’avoir été frappé sur la coquille,
  • Éviter les attaques de l'adversaire, en feignant par exemple de tomber, de glisser sous les cordes ou en se cachant derrière l'arbitre,
  • Commettre n'importe quelle action incorrecte susceptible de blesser l'adversaire.
  • Rappel : un combattant qui commet une faute sans toutefois causer un handicap ou infliger une blessure à l'adversaire recevra un avertissement oral et sera pénalisé d’un point. Le combattant qui commet volontairement une irrégularité désavantageant ou blessant l'adversaire peut perdre le match pour faute ou être disqualifié par l'arbitre, sans préavis s'il réitère son attitude durant la rencontre. En cas de faute involontaire empêchant la poursuite du combat, l'arbitre arrête la rencontre ; il attribuera, donc, la victoire par « K.O. technique » au boxeur ayant obtenu le score le plus élevé, ou bien déclarera le match nul en cas d'égalité des scores. Un combattant peut se plaindre d'avoir subi une irrégularité auprès de l'arbitre, qui prendra immédiatement une décision : s'il estime que la faute ne rentre pas dans le cadre de celles énumérées plus haut, le combat se poursuivra.

    Victoire

    La victoire est proclamée :

  • aux points ;
  • par K-O : l'adversaire tombé à terre ne se relève pas dans les dix secondes ;
  • par K-O technique : l'arbitre interrompt le combat parce qu'un athlète
  • n'est pas en état de continuer,
  • ne se présente pas après l’appel du gong,
  • est victime d'une blessure qui l'empêche de poursuivre le combat ;
  • par décision du médecin, à la suite d'une blessure ;
  • par abandon : l'un des combattants déclare ne pas vouloir continuer le combat ;
  • par disqualification de l'adversaire pour faute grave ;
  • par décision des juges : le combat une fois terminé, les juges attribuent la victoire au boxeur ayant obtenu le score le plus élevé.
  • Décision

    Différents types de décision existent :

  • unanime : trois votes favorables.
  • partagée : deux votes favorables et un contraire.
  • match nul :
  • si telle est la décision de deux juges sur trois ;
  • si les avis des juges sont tous discordants.
  • No-contest : en cas de phénomène imprévisible ou d’une blessure en début de combat.
  • Si telle est la décision des juges sur demande du superviseur, parce que les deux athlètes combattent de manière incorrecte ou évitent l'affrontement.
  • Quand un combattant se retrouve au sol, l'arbitre ordonne à son adversaire d'aller dans le coin neutre, et commence immédiatement à compter de 1 à 10 en langue thaïlandaise.
  • Si le boxeur qui a envoyé son adversaire à terre n'obéit pas, il arrête de compter, réitère son ordre et attend que ce dernier ait produit son effet pour reprendre le compte des secondes.
  • Si le boxeur tombé à terre se relève pendant le compte ou bien avant d'être compté 8, il pourra poursuivre.
  • Si le boxeur tombé à terre n'est pas en état de poursuivre le combat, il doit continuer de compter jusqu'à 10.
  • Si le boxeur tombé à terre se relève avant d'être compté 10, puis tombe de nouveau, il doit recommencer à compter les secondes.
  • Si les deux boxeurs tombent à terre :
  • Il commence à compter et ne s'arrête pas si l'un des deux se relève,
  • Il déclare le match nul si à 10, aucun des deux boxeurs ne se relève.
  • Modalités particulières

    La cloche ne sauve pas le boxeur hors-combat (du compte des secondes), sauf au dernier round. À la fin du compte des secondes, le boxeur en état de poursuivre le combat sera déclaré vainqueur.

    Catégories professionnelles

    Catégories officielles du Rajadamnoen: (Au stade du Lumpini les catégories s'arrêtent aux Welters)

  • Paille (-47,5 kg / -105 lb)
  • Mi-mouche (-49 kg / -108 lb)
  • Mouche (-51 kg / -112 lb)
  • Super-mouche (-52,5 kg / -115 lb)
  • Coqs (-53,5 kg / -118 lb)
  • Super-coqs (-55,5 kg / -122 lb)
  • Plumes (-57,5 kg / -126 lb)
  • Super-plumes (-59 kg / -130 lb)
  • Légers (-61,5 kg / -135 lb)
  • Super-légers (-63,5 kg / -140 lb)
  • Welters (-67 kg / -147 lb)
  • Super-welters (-70 kg / -154 lb)
  • Moyens (-72,5 kg / -160 lb)
  • En Europe, les catégories sont différentes selon les fédérations et correspondent très souvent aux organismes internationaux de boxes pieds-poings (notamment la WKA, ISKA, et WAKO). Ainsi, il faut rajouter les catégories moins de 75 kg, moins de 81 kg, moins de 90 kg puis les plus de 90 kg (poids lourds).




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